13 mars 2006




Apple work


Haaalala.
Cueillir les fruits que la vie nous offre.... Le travail saisonnier..... tout était parfait.... de la bière à volonté ( la fameuse 8.0., 1 euro 04 le litre à 8°), une guitare électrik avec un ampli disposant de l'effect Pink Floyd ( paix à leur âme), des gens sympas mais que tu connais pas encore, des étrangers en plus, 4 polonais, 1 africain et une p'tite campagnarde française (qui était preske la plus dépaysante par rapport aux filles de la belle Paname), de l'air, de l'herbe (chacun comprendra ce qu'il voudra), une ligne d'horizon, des sangliers à manger, un platane sous lequel se reposer.... nickel quoi.

Enfin presque, le patron était bien con, Faudé parfois de mauvaise humeur, Peter alcoolique, et moi et les polonais avec d'ailleurs. Le travail physique était parfois, comment-dire, physique, surtout en Octobre à 8h du mat' sous la pluie, la p'tite campagnarde un peu trop sur moi et pour finir j'emmerde Radio trou-du-cul de la Sartes.

Ha ouais, mais la cuisine était super grande..... sauf qu'on pouvait pas fumer à l'intérieure si Faudé était là.

Tout ça pour dire merci.......

love and everything

Prout.

The(parmis tant d'autres) événement choquant de ma jeunesse

C'était en Septembre 95. J'allais donc avoir exactement 12 ans un mois après.
Une association, qui apparement revendiquait le droit au suicide en toute légalité, organisa le contest "Suicide For Freedom", live in Asnières-sur-Seine.
Pourquoi en face de chez moi, de chez nous ? A mon avis, mes parents se sont posés cette question pendant longtemps. Mais la raison était toute simple: il y avait une sorte de p'tite nacelle au bout d'un immeuble, qui ne devait pas servir à grand chose, mais qui était, semble-t-il, parfaite pour se jeter avec panache.Et en effet, les quelques minutes de spectacle furent époustouflantes de sportivité(grâce à quelques rotations), de créativité(les slogans fusaient bon train lors des chutes) et de suspense. Car une fois devant le tremplin, certaines motivations s'écroulaient. C'était alors aux autres chalengers de pousser leur complice au vice.
Tous réussirent leur fougueux paris, excepté un qui ne se cassa que le bras(on ne sait toujours pas d'ailleurs comment il a survécu, mais bon ...).J'ai un vague souvenir de l'avoir vu aux informations ayant un air encore plus abattu que lors de cette unique compétition. Il ne cessait de scander ses sentences sur la foule qui ne l'entendait toujours pas.
Real war is inside

First

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